CULTURE

Agen, Une Histoire de Garonne

DESSINE MON VILLAGE

COURT METRAGE ECOLE DE CINEMA DE TOULOUSE

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En ce printemps 2017, un groupe d'étudiants de l'école de cinéma de Toulouse réalisera un court métrage dans notre commune.  

Je vous invite à lire le synopsis du film ci-dessous afin d'appréhender au mieux les enjeux du scénario concernant le décor.

Un frère (Arthur) et une sœur (Laura) se promènent dans la forêt de leur enfance. Laura est photographe, obnubilée par le thème du souvenir. Elle est animée par l'envie de prendre des photos de son frère, tandis que ce dernier se concentre sur la nature environnante, à laquelle il est très sensible. Ils parviennent finalement à l'arbre "repère", celui près duquel ils jouaient étant enfants. Ils y sont particulièrement attachés. C'est un arbre reconnaissable et impressionnant, se distinguant du reste de la forêt.

Prochainement sur cette page des photographies du tournage

et pourquoi pas quand il sera réalisé, la projection du film au village ....

Nous remercions ce groupe de cinéastes et leur souhaitons toute la réussite attendue
 

PHYLIPA SCAMEL

LES MARIOLES

 

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BLUES ADDICT

La soirée BLUES, organisée par le restaurant "LE JARDIN DE SAUVAGNAS" nous a permis de découvrir le fameux groupe local

BLUES ADDICTS

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http://bluesaddict.free.fr/galerie/browserlb2.php?first=NO&int_nb_photos=8&int_nb_pages=13&int_no_page=8&directory=BAOB&lng=fr

 

A L'OCCASION DE LA FETE DE SAUVAGNAS 2015, LA MUNICIPALITE A FAIT TAGUER UN MUR DE LA SALLE DES FETES PAR ZELIGRAFF :

suivez son travail sur : http://zeligraff.com/blog/

Patricia Gonzato : passion pastel

Patricia présente ses œuvres./Photo A.Jacquot

Patricia présente ses œuvres./Photo A.Jacquot

Patricia Gonzato, cette artiste de Sauvagnas, était une des invités surprise de l'exposition de peintures à la Ferme d'Estrades pour la «der» des Terrée-Bourden, dont le vernissage se tenait vendredi 16 octobre.http://memorix.sdv.fr/0/default/empty.gif

Encore une trouvaille, ce «petit bijou» qui était présente pour l'exposition dans cette spécialité de la peinture qu'est le pastel. Ses splendides œuvres magnifiaient l'espace déjà majestueux de la Ferme d'Estrades livrée avec bonheur à ces artistes de talent !

Patrick Bourden, en fin connaisseur, avait particulièrement «choisi ses invités de la semaine» et exceptionnellement pour sa «der» qui plus est. Gage de qualité, de reconnaissance, pour cette jeune artiste aussi pleine de modestie que de talent.

Autodidacte, elle s'adonne à la sanguine et au pastel, se servant essentiellement de photographies pour modèles, insistant dans ses réalisations sur les moments de vie, les attitudes et les comportements de danseuses par exemple, que peut-être «elle rêvait de devenir, enfant». Maman de deux enfants et travaillant, Patricia peint pour son plaisir et c'est bien son talent qui lui permet aujourd'hui d'être présente à cette exposition. En perpétuelle recherche du «mieux, et d'amélioration pour offrir au public de plus belles œuvres encore», elle prend en ce moment des cours de «portrait» au musée des beaux-arts à Agen. Sensible aux émotions qu'elle dépeint avec une force admirable, ses réalisations méritaient bien leur place en cette splendide Ferme d'Estrades qui les mettaient plus encore en valeur.

Si vous avez manqué l'exposition : Patricia Gonzato, « Castres », 47340 Sauvagnas. Tel : 06 75 74 30 34.e-mail : patricia-gonzato@oranfe.fr

Le Petit Bleu d'Agen

Quand Roger Cavalié raconte le temps de l'école normale

Roger Cavalié invité chez Martin-Delbert pour son premier roman, «Le vieux cartable»./Photo Jean-Michel Mazet

Roger Cavalié invité chez Martin-Delbert pour son premier roman, «Le vieux cartable»./Photo Jean-Michel Mazet

Roger Cavailé, l'enfant de Sauvagnas, collégien et normalien à Agen, reprend la plume pour raconter de manière romancée ses années d'école normale. À lire.http://memorix.sdv.fr/0/default/empty.gif

«Que veux-tu faire plus tard ?» La question fut posée à Roger Cavalié par son vieil instituteur dans la petite école rurale de Sauvagnas du côté de Laroque-Timbaut. Roger Cavalié répondit en plus de 200 pages dans un premier roman, «Le vieux cartable». «Instituteur, Monsieur…» Il n'imaginait pas, le jeune garçon, que suivraient des années de pension, «pas en internat mais dans une pension de famille.» Il n'imaginait pas, non plus, qu'Après les années d'enseignant, il deviendrait inspecteur de l'éducation nationale. Et il n'imaginait pas, non plus, que l'heure de la retraite venue, il prendrait la plume et raconterait, sous la forme romancée, ses anecdotes, ses expériences, sa vie dans les salles de classes. «Le vieux cartable» racontait encore, «le service militaire en Allemagne, la coopération en Algérie pendant 8 ans, les Îles Loyauté en Nouvelle-Calédonie pendant 3 ans, le territoire des Afars et des Issas, l'ancienne Djibouti, et puis cette formation pour devenir inspecteur départemental.»

«Les ennuis du primitif»

L'école normale. Que savons-nous aujourd'hui de l'école normale ? «Elle n'existe plus dans les faits. L'école normale d'hier est devenue ESPE, Ecole supérieure du professorat et de l'enseignement. D'ailleurs les enseignants ne sont plus des instituteurs mais des professeurs des écoles.» Qu'est ceque cela change ? Un vieil enseignant répond d'une voix ferme et autoritaire, «tout. Cela change tout…»

Établissement chargé de former les enseignants du primaire, la première école normale nationale en France fut créée en 1810 pour les hommes suivis, en 1838, de la première école normale d'institutrices. Dans certaines écoles normales, on comp­tait de 40 à 50 % d'enfants d'ouvriers et paysans, bien placés pour savoir la nécessité de l'instruction pour le peuple. Souvent, l'instituteur avait dû convaincre la famille de l'utilité de faire continuer leurs études aux enfants. Il était de règle que tout élève soit interne, de façon à avoir des conditions matérielles de travail meilleures que dans les foyers d'où étaient issus les élèves, et la pension était gratuite.

Roger Cavalié, lui, sera élève instituteur à l'école normale d'Agen, route de Toulouse. Dans «Julien l'insoumis», il ne raconte passa vie. Il raconte la vie d'un futur enseignant. «Et ce parcours est semé d'embûche» explique l'auteur, «le bizsutage, les colles, les filles.» Le doute aussi… «Pourtant devenir instituteur est bien un rêve. Mais parce qu'il a un fort caractère, Julien s'attire tous les ennuis. «Le jeune normalien va faire face à un autre problème de taille : continuer à filer le parfait amour avec la douce Jeanne, tendre complice depuis l'enfance ou essayer de construire un futur avec la belle Agnès sa belle et troublante camarade ?» l

> «Julien l'insoumis», Roger Cavalié aux Editions De Borée.

Date de dernière mise à jour : 05/06/2020

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